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Donc le salon du livre de Paris revoit sa formule et passe à quatre jours.
Deux jours de retirés.
Encore quatre jours quand même !
Car, ça se passe comment ? Les vedettes sont sollicitées, certes ? Et les écrivains qui espèrent être vus ? Ils sont dans quels placards ? Car quand même, on ne peut pas mettre en vue les écrivains qui ne passe pas à la télé ?
Et monsieur PPDA, il y sera ?
Et il faudra mettre à l'honneurs les écrivains des pays nordiques : des écrivains de Suède, Norvège, Finlande, du Danemark et de l'Islande ont gagné le droit de visiter Paris.
J'ai lu sur le site du crl midi-pyrenees (vous savez, monsieur Martin Malvy m'aime beaucoup ! J'ose déconseiller de voter pour lui...) :
Aux éditeurs qui souhaitent exposer pour la première fois et dont le chiffre d’affaires est inférieur à 500 K€, ils peuvent bénéficier de la formule Trampoline avec un un stand noté “petite édition” à 1 743 € HT.
Mais même pour parler de l'édition numérique (où je suis quand même l'un des mieux placer pour parler de ce sujet) ils ne m'ont pas invité tous frais payés !
Donc vous ne m'y verrez pas.
Vous qui avez visité le salon du livre 2011 ou avez présenté vos livres, réagissez !
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