1) Le guide pose un regard décalé sur nos territoires (pour l’instant sur le Tarn et Garonne et le Cantal) nous offrant la possibilité de l’observer sous un angle curieux, différent, autrement comme « l’autre qui ment ». Nous retrouvons le charme de ce que l’on ne voit plus à force de trop le voir, à partir d’histoires insolites prenant appui sur un détail de géologie, une singularité architecturale, une page d’histoire.
2) En automne 2017 : trois livres
3) 4-5 ans
4) « Le Tarn et Garonne Autrement » et « Le Cantal Autrement : partie ouest »
5) Mon propre éditeur, je suis libre de présenter mon livre comme je le désire, à savoir comme un magazine pour que l’approche visuelle soit très attractive et qu’elle « colle » au concept : « Autrement ». Les inconvénients sont évidents, il faut avoir toutes les casquettes, écrivain, éditeur et… c’est pas le plus passionnant, distributeur.
6) Toujours un livre avec moi mais je ne suis pas un « dévoreur ». J’aime bien, aussi dans mes lectures, emprunter des chemins de traverse, découvrir de nouvelles plumes.
7) Non, c’est en prenant, là encore, des chemins non balisés que l’on découvre de nouveaux paysages. Encore qu’il soit agréable de se retrouver dans un environnement que l’on connaît bien. Il est des auteurs qui vous deviennent familiers. J’aime les ambiances des livres de Kate Mosse, j’apprécie de retrouver les aventures du capitaine Marcas des livres de Giacometti et Ravenne… entre autre !
8) Un écrivain doit être un merveilleux capitaine de Goélette vous faisant naviguer sur des océans inimaginables avec pour plume son embarcation et pour pays lointains son imagination.
9) De fait, l’actualité nous atteint et nous interagissons. Non, mes guides sont de la vulgarisation, juste pour le plaisir de se dire que l’on va sortir de chez soi et découvrir en toute simplicité parce que l’on a du temps à perdre (quelle magnifique notion : perdre du temps, n’est-ce pas le gagner ?)
10) Une dizaine.
11) Salons, toutes les librairies des départements concernés par les guides et le site Internet.
12) Des rencontres avec les lecteurs potentiels, acteurs et souvent amoureux de leur pays. Si peu de lecteurs, un contact « intelligent » avec les autres auteurs CQFD.
13) Bon. Du travail de prospection sur l’Aveyron entrecoupé d’écriture, de séances de dédicace, le tout entrecoupé de participation aux salons. Chouette, que ça dure !
14) Montcuérois et Montcuéroise.
15) Alfred Hitchcock étant né un 13 août, on peut s’attendre à un film catastrophe, une simple fiction qui vous autorise à maintenir le salon de Montcuq. Et tant pis pour Nostradamus.
16) La sinistrose ambiante ? Soyons à contre courant. Le monde a besoin de garder le sourire : les jeunes l’espoir et l’humanité son espérance.
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Extrait de « Montcuq en Quercy Blanc 13 août 2017 - Le salon du livre 2eme. » 10 euros en papier (118 pages). GRATUIT en Numérique. Montcuq le salon du livre : Le livre (gratuit en numérique) et les infos... |
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