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- En trente mots, au maximum, retenez l’attention...
Un intellectuel s’efforçant aussi d’être aussi un homme d’action (candidat aux élections cantonales de Montcuq en 1994). Engagé. Marqué par mes racines paysannes dans le Sud-Ouest, la tradition catholique, la figure de De Gaulle et la lecture des grands auteurs. Centres d’intérêt très variés (peut-être trop...) sous-tendus par une intense soif de connaître.
- Votre catalogue ?
11 livres : 9 d’actualité politique et 2 d’histoire religieuse.
- Depuis quand écrivez-vous ?
Depuis 1972, en commençant par des articles.
- Depuis quand publiez-vous ?
Premier livre publié en 1993. Mais vrai début en 1997 (chez Gallimard) .
- Quel livre présenterez-vous en priorité ?
Gnose et gnostiques des origines à nos jours (Desclée De Brouwer, 2015)
- Éditeur traditionnel ou votre propre éditeur...
Je suis généralement édité par un éditeur traditionnel (Gallimard, Hachette, Perrin, Buchet-Chastel), mais aussi par des petits éditeurs amis. Les grands éditeurs sont plus exigeants et donc plus formateurs. Les petits laissent généralement toute liberté.
- Lisez-vous un peu beaucoup passionnément... ?...
Beaucoup.
- Avez-vous un auteur "de référence" ?
Peut-être Chateaubriand mais je n’ai pas tout lu.
- Que signifie pour vous "être écrivain" ?
C’est avoir le besoin incoercible de mettre par écrit certaines idées.
- Vous sentez-vous observateur du monde, de notre époque ? Vos livres apportent une "compréhension du monde" ou autre chose... ?
Oui, j’essaye mais sous la forme d’essais.
- Combien de salons du livre ?
Un par an en moyenne.
- Est-ce votre principal lieu de vente ?
Non. Je pense que le principal lieu de vente est Amazon mais je n’ai pas vérifié.
- Que recherchez-vous dans un salon du livre ?
Des contacts avec le canton de Montcuq que je connais bien.
- Montcuq en Quercy Blanc... Sans chercher sur le net... Quel est le nom des habitantes et habitants ? (vue poétique autorisée !)
Montcuquois, je crois.
- Coïncidence de dates... Selon des exégètes de Nostradamus, Paris devrait être détruite le 13 août 2017... Si c’est le cas, devrons-nous néanmoins maintenir ce salon ? Et si Paris reste debout... que devrions-nous faire ?...
Si tel était le cas, il faudrait l’annuler. Si Paris reste debout, il faut rester à Montcuq : on ne sait jamais.
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